« (…) Comment ma rose as-pu tu subir pareille offense à ta splendeur? Et comment puis-je réussir à oublier qu’elle fût l’erreur – De t’arracher à ton jardin et cause un vide dans mon cœur – Mais elle m’arrête et puis m’embrasse, ma rose rit et moi je pleure – Ma rose, ma rose, ma rose, ma rose écoute mes murmures – Ma rose, ma rose, ma rose, ma rose maintenant je suis sûr – Que je n’serai plus jamais seul pour franchir les murs – Il y a d’la place sur mon épaule pour une rose et son armure – Ma rose, ma rose, ma rose, ma rose que ça peut être dur – Ma rose, ma rose, ma rose, ma rose depuis que ma vie dure – Je n’avais jamais eu personne pour guérir mes blessures – Jusqu’à ce que un jour une rose vienne se poser sur mon armure. » – Antoine Elie
Acrylique sur carton toilé (30 x 30)